La grèce va connaître une plus forte récession que prévu dans les années qui suivent.

C’est après l’annonce du centre de planification et de recherches économiques Kepe, qui annonce dans une étude que le recul du PIB au premier trimestre a bien atteint 6,5 %, au troisième trimestre il sera de 9,1 % et le total cumulé sur un an sera de 6,7 %, soit le double de ce qui avait été initialement prévu", a déclaré le ministre adjoint des finances Grec, Christos Staïkouras.

Le ministre annonce une situation économique "critique" et "particulièrement difficile".

Ce qui risque d’engendrer encore des polémiques au sein de l’UE, car non seulement les aides européennes on été dépassées, les refinancements étudiés, les efforts consentis par les financeurs au maximum. Bilan la Grèce ne peut pas techniquement sortir de la crise. les politiques pro européens vont donc sans doute dire que ce n’est pas si alarmant que ça, mais aujourd’hui à l’heure ou les pays forts , en particulier l’Allemagne ne pourront plus faire d’effort.

 Mis à part la possibilité qu’un merveilleux politicien nous sorte une solution miracle de financement venu de la planète Mars, il est logique qu’il n’y ait plus du tout d’issue et le reconnaître sera déja une avancée on ne peut pas financer et cautionner les erreurs des autres en "forfait illimité". Mais à l’heure qu’il est la grèce va encore plomber l’ Europe et la crainte de la fin de cette économie totalement injuste pour ceux qui se sont mis en récession car ils prévoyaient une longue période de disette.

Les politiques vont encore nous bassiner avec la croissance à tout prix, alors que les seuils d’imposition vont encore augmenter ce qui plombe bien évidemment la croissance. En France le peuple est content de l’augmentation du smic de 2%, mais va il va subir une hausse prévue qui sera surement de 8%, et personne ne veut entendre parler d’austérité, comme les grecs l’ont fait pendant des années. Il y a toujours un prix à payer et le scréanciers n’y sont pour rien, c’est plutôt celui qui vit au dessus de ses moyens qui coule. Cela vaut pour tout le monde, sauf que tous les "intelligents" de l’économie pronaient jusqu’a présent la non possibilité pour un état de tomber en faillite. et bien si ça va exister, on le verra dans les mois qui suivent, mais rien de bon en perspective.