Google, n’a pas réussi à convaincre les associations représentant les auteurs et éditeurs américains, et français, qui jugent insatisfaisantes les conditions proposées et trouvent que au regard du respect du droit d’auteur l’accord n’est pas équitable. Vendredi le ministère de la Culture et de la Communication française à déclaré aussi son attachement à ces valeurs qui sont chères à la France. C’est l’accord suite au procès des associations américaines et françaises, intenté par les maisons d’éditions qui n’ests pas équitable car basé sur le financement par la pub, ce qui n’a rien à voir avec le cout de l’oeuvre, Gallimard, les Editions de Minuit, les Presses universitaires de France, Editis, Albin Michel et Hachette, également le Syndicat national de l’Edition qui sont groupés sous la houlette du ministre pour organiser cette fronde.
Et comme le projet couvre de nombreux livres français enregistrés au Bureau américain du droit d’auteur, qu’ils ont été numérisés sans autorisation, ajoute le ministère dans un communiqué, il n’est pas question de faiblir, apparemment une autre orientation va se profiler et Google devrait trouver un compromis.